Mon seize heures au lac de Saint Apollinaire, mille nuances de vert
Vous connaissez la sensation d’être suspendu à un fil ? Être au dessus de la mêlée ?
Car pour une idée sortie telle que celle du Lac de Saint Apollinaire, autant vous le dire tout de suite : vous aurez l’impression de voguer vers un monde bien haut, bien léger, virevoltant. Au dessus du lot.
Avec une remarquable authenticité.
Il y a d’abord la route à flanc de côteaux. Prunières. Saint Apollinaire. Des chalets qui ont une vue qui défie toute réalité. La définition du mot balcon prend tout son sens.
Ici le vertige se mue en douces pentes.
Au loin le grand cousin Serre Ponçon étale ses écailles marines au fond de la vallée.
Mais nous, ce qui nous importe, c’est un petit frère aquatique : le lac de Saint Apollinaire.
Là haut, préservé. Les locaux et rares touristes savourent. Sous un camaïeu de verdure.
Du vert déployé à toutes les sauces. Je pense qu’ici en adret, en plein soleil, cette couleur peut voir l’avenir couler de source, sans trop d’ennuis.
Vous savez ce qui m’a le plus frappé ? Cette sensation de ne pas être interdit par mille panneaux. Oui, on peut s’y baigner. Oui, on peut s’y prélasser. Oui, on peut s’y restaurer. Sans conditions. Sauf celle du respect de cet écrin paradisiaque.
Le tour du lac pourrait prendre une éternité tant les recoins pour le contempler sont nombreux.
Derrière un roseau, sur un pilotis, vers les mélèzes, dans les champs envahis de sauterelles intrépides et heureuses. Le Lac de Saint Apollinaire mêle facilité d’accès et esprit d’aventure.
A savourer tout l’été et jusqu’aux frimas de l’hiver.
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Mon seize heures au lac de Saint Apollinaire, mille nuances de vert
Mon seize heures au lac de Saint Apollinaire, mille nuances de vert
Vous connaissez la sensation d’être suspendu à un fil ? Être au dessus de la mêlée ?
Car pour une idée sortie telle que celle du Lac de Saint Apollinaire, autant vous le dire tout de suite : vous aurez l’impression de voguer vers un monde bien haut, bien léger, virevoltant. Au dessus du lot.
Avec une remarquable authenticité.
Il y a d’abord la route à flanc de côteaux. Prunières. Saint Apollinaire. Des chalets qui ont une vue qui défie toute réalité. La définition du mot balcon prend tout son sens.
Ici le vertige se mue en douces pentes.
Au loin le grand cousin Serre Ponçon étale ses écailles marines au fond de la vallée.
Mais nous, ce qui nous importe, c’est un petit frère aquatique : le lac de Saint Apollinaire.
Là haut, préservé. Les locaux et rares touristes savourent. Sous un camaïeu de verdure.
Du vert déployé à toutes les sauces. Je pense qu’ici en adret, en plein soleil, cette couleur peut voir l’avenir couler de source, sans trop d’ennuis.
Vous savez ce qui m’a le plus frappé ? Cette sensation de ne pas être interdit par mille panneaux. Oui, on peut s’y baigner. Oui, on peut s’y prélasser. Oui, on peut s’y restaurer. Sans conditions. Sauf celle du respect de cet écrin paradisiaque.
Le tour du lac pourrait prendre une éternité tant les recoins pour le contempler sont nombreux.
Derrière un roseau, sur un pilotis, vers les mélèzes, dans les champs envahis de sauterelles intrépides et heureuses. Le Lac de Saint Apollinaire mêle facilité d’accès et esprit d’aventure.
A savourer tout l’été et jusqu’aux frimas de l’hiver.
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